Sciences-po Grenoble bien infiltré par les islamogauchistes refuse donc de sévir contre des étudiants dont le comportement de petits fascistes a mis en danger deux professeurs et s’assied sur les recommandations de sa ministre de tutelle.

La liberté académique n’est pas l’arbitraire individuel des enseignants, encore moins le droit des étudiants d’afficher les professeurs qui leur déplaisent, de formuler des accusations diffamatoires et d’en appeler à la haine. Ce choix de cautionner une forme de violence et de le justifier par la liberté académique est choquant.

Pourquoi continuer à financer un institut qui ne respecte pas l’état de droit, fait du harcèlement un mode d’action syndical légal et ne protège ni ses professeurs, ni les élèves, les méthodes d’intimidation du syndicat étudiant ayant été dénoncé dans un rapport d’enquête ? Si Sciences-po Grenoble veut s’extraire de tout devoir et de toute responsabilité, la Nation n’a pas à le financer ni à reconnaître son diplôme. Que l’institut essaie de vivre sur sa seule réputation et soit donc détachée de tout lien avec l’éducation nationale puisqu’elle en méprise les positions.

Si Sciences-po Grenoble accepte de ne vivre qu’avec les frais d’inscription de ses étudiants et que son diplôme ne soit plus reconnu nationalement, il n’y a rien à dire. Dans un État bien tenu, il faudrait couper tout financement émanant de nos impôts à cette école. Qu’elle se débrouille toute seule puisqu’elle bafoue toute autorité. Mais je crains que sous le règne d’Emmanuel Macron, s’essuyer les pieds sur la tutelle de l’Etat ne coûte rien. Alors pourquoi se gêner ?