« Il nous faut choisir à présent la fermeté et l’affirmation. »

Menacée de mort à 16 ans parce qu’elle critique l’islam : silence radio de nos gouvernants

Tribunes

Une jeune fille harcelée et menacée de mort sur les réseaux sociaux pour avoir critiqué l’islam. C’est en France, aujourd’hui et maintenant. Et personne ne réagit.

Qui l’agressent, diffusent son adresse, font qu’elle a dû être déscolarisée et qu’elle est en danger ? Des personnes se réclamant de l’islam, pas uniquement des islamistes virulents et des militants. Cela va bien plus loin. Cela montre à quel point l’islamisme progresse et devient dominant et prescripteur chez les musulmans. Nous sommes bien loin d’une infime minorité. La lèpre se répand et son emprise ne peut qu’augmenter puisqu’elle n’est pas combattue.

La réaction des pouvoirs publics le prouve. Quelle est-elle ? Le silence. Une volonté d’étouffer, de ne pas reconnaître qu’en France, user de la liberté d’expression devient impossible. Il faut dire que la censure n’est pas étatique, comme elle le fut naguère. Non aujourd’hui le pouvoir de faire taire est terroriste et communautariste. Il prospère sur l’abandon des peuples par leurs représentants politiques. Ainsi le gouvernement non seulement baisse les yeux devant l’islam en France, mais renonce surtout à défendre des citoyens intégrés pour protéger des fous furieux qui utilisent la foi pour attaquer et détruire notre société.

Il y a même pire. Ceux-là même qui font que l’on est attaqué pour ce que nous sommes, ceux-là même qui théorisent le fait qu’en tant que kouffars nous sommes des sous-hommes ont la faveur de notre gouvernement.

C’est ainsi que l’AMIF, qui doit faire émerger pour Emmanuel Macron un Islam de France, est déjà largement entre les mains des frères musulmans.

Ils veulent nous détruire en tant que Nation ? Emmanuel Macron leur offre des instances et un outil pour accentuer leur puissance et leur objectif de séparatisme : l’AMIF et la taxe hallal. Comme ça ils pourront tracer des lignes infranchissables entre purs, eux et impurs, nous. Tout en développant leur influence et leurs richesses. Mais cela devient une habitude en Macronie d’armer l’adversaire et de dépouiller les siens…

Il faut dire que notre nouvelle élite a été à bonne école : Une partie de la classe politique a déjà créé et sponsorisé nombre de lieux de radicalisation, ces fameuses mosquées-centres culturels où nous payons le foncier sous forme de bail emphytéotique pour que des prêcheurs islamistes réclament notre destruction.

La traditionnelle excuse invoquée pour abandonner les victimes de plus en plus nombreuses de la violence qui définit de plus en plus l’expression de l’islam chez nous s’appuie sur la nécessité d’éviter la stigmatisation des musulmans. Le problème c’est qu’aujourd’hui on laisse des personnes menacer et harceler par milliers au nom de l’islam des gens qui ne font qu’user de leur liberté d’expression. En refusant de regarder en face le phénomène et d’agir, le rejet ne pourra que grandir et finira par toucher aussi les personnes arabo-musulmanes qui se battent pour la démocratie, la laïcité, l’égalité, la liberté et qui, en Europe, sont en train de perdre la bataille face aux islamistes, parce que ces derniers ont trouvé des alliés au plus haut niveau. Chez nous c’est à la Présidence que les frères musulmans ont leurs entrées.

Cette jeune fille de 16 ans, elle, n’a que nous, que vous pour que son histoire ne soit pas censurée ! Partagez-la.